Le jeudi 12 décembre 2019, on est allé à Fribourg en bus, avec la classe des 5èmes C, Monsieur Striebig et Madame Auroy.
Le matin, on a attendu un guide allemand pour visiter l’éco-quartier. On a pu poser des questions au guide qui était un des architectes de ce quartier et qui parlait très bien français !
Il nous a expliqué l’histoire du quartier Vauban.
Au départ, il y avait une caserne militaire, construit en 1936 et occupée après la seconde guerre mondiale par des soldats français qui lui ont donné ce nom.
En 1992, quand les soldats sont partis, des personnes se sont installées dans les bâtiments et ont eu l’idée d’un éco-quartier.
Avec l’aide de la mairie, les premières maisons écologiques ont été construites en 1996.
Nous avons vu une maison qui tourne en suivant le soleil, des panneaux photovoltaïques qui captent la lumière sur les toits, des récupérateurs d’eau de pluie, beaucoup de bois, très peu de voitures, beaucoup de vélo et de maisonnettes pour les ranger, beaucoup d’aires de jeux, beaucoup de végétation et d’arbres.
Au Sud, il y a des grandes vitres pour faire entrer la lumière et la chaleur ; au Nord, il y a des petites fenêtres pour bien isoler du froid.
Le tram est silencieux grâce à un système particulier de rails.
Nous avons trouvé cet éco-quartier beau et coloré !
Nous avons ensuite pris le tram jusqu’à la gare pour y manger.
L’après-midi, on est allé au marché de Noël. On a fait des groupes. Certains ont acheté des petits souvenirs. On est allé dans un café avec Madame Muller et Aurélie pour boire un chocolat chaud.
A 15h, tous les groupes se sont retrouvés pour aller voir la cathédrale. Elle a été construite entre 1200 et 1500. C’est une cathédrale gothique. On a observé les gargouilles.
Nous avons aussi visité l’intérieur. Nous avons vu les vitraux et les orgues.
C’était une très belle journée même si nous avons eu froid !
Autour d’un verre et d’une tasse de thé, trois grands-pères se sont retrouvés.
Ils sont plutôt vieux, un peu courbé, mais d’un grand sourire leur visage est éclairé. La barbe de l’un est longue et frisée, celle de l’autre, courte et bouclée, quant à celle du dernier, elle va jusqu’à ses pieds.
Ils se connaissent depuis si longtemps qu’ils se sont donné des noms amusants : Nico, Nono et Gégé, des petits noms d’amitié.
Près du feu qui crépite, les trois grands-pères s’agitent. En mille gestes et éclats de rire, ils se racontent leurs souvenirs, souvent les mêmes chaque année. Mais ça ne fait rien, les beaux souvenirs, on ne s’en lasse pas, on les aime bien.
Nico reparle encore des trois petits-enfants qui, en s’en allant aux champs, se sont fait attraper par le méchant boucher. Trois petits-enfants que Nico à sauvés.Nono, lui, se souvient du jour où, ayant trop mangé, il est resté coincé dans une petite cheminée. Gégé rit encore à en pleurer de sa grande glissade à ski où il s’est retrouvé planté dans un sapin, tout étourdi.
Autour d’un verre et d’une tasse de thé, trois grands-pères se sont retrouvés. Ils se lisent des lettres d’enfants, des petits et des grands venant de tous les pays.
Mais quand sonnent les douze coups de minuit, chacun met son manteau et son bonnet rouges pour Nico et Nono, blanc pour Gégé. L’un prend son âne aux yeux de miel, l’autre son traîneau, le troisième ses skis.
Un dernier signe de la main, ils disparaissent parmi les sapins.
C’est ainsi que dans la nuit, partent aux quatre coins de la Terre, Saint-Nicolas, Père Noël et Père Gel, trois grands-pères extraordinaires…
Qui est père-gel ?
Les enfants russes reçoivent leurs cadeaux la nuit du 31 décembre et c'est le Père Gel qui descend dans la cheminée pour apporter des cadeaux aux enfants sages. Il est plutôt âgé et à l'air d'un grand-père avec sa barbe blanche.
Le lundi 16 décembre 2019, on est allé à la maison de retraite de Richwiller.
On a pris le bus Soléa. A notre arrivée, l'animatrice nous a emmenés dans une salle, où des personnes agées nous attendaient.
Myriam nous a présentés et nous avons commencé le spectacle.
Madisson et Cindy puis Emilie et Myriam ont récité des poèmes sur la guerre.
Ensuite, on a chanté Noël Jazz, Voyageur et Soleil chauffer. Cindy, Myriam et Emilie ont chanté Elle est mon âme de Mélissa. M. Sattler, le professeur de musique, nous a accompagnés avec son piano.
Puis, nous avons lu des contes. Nous avons animé le premier avec un décor et des marionnettes et nous avons mimé le second. M. Sattler faisait des bruitages.
Pour finir le spectacle, nous avons chanté Vive le vent avec les personnes agées.
Tout le monde était content, nous avons été applaudis et remerciés.
Nous avons terminé l'aprés-midi par un goûter et des discussions.
Texte rédigé par tous les élèves et tapé par Yohann.
Son nom : le paresseux On l’appelle comme ça car il se déplace très lentement. Autre nom : l’aï Nom scientifique : Folivora
Comment le classe-t-on ?
Il possède : - un squelette interne - des poils et des mamelles C’est un mammifère.
Lieu de vie :
Il vit en Amérique du Sud, dans les forêts tropicales et en Amazonie. Il passe son temps accroché aux branches des arbres.
Nourriture :
Il mange des feuilles. Il est végétarien. Il est lent car ça ne lui donne pas beaucoup d’énergie.
Description : Le paresseux a une espérance de vie d'environ 30 à 50 ans.
Il pèse de 4 à 8kg.
Il a 2 ou 3 doigts (selon l’espèce) recouverts d’ongles pour bien s’accrocher.
Son pelage est brun-gris. Ses poils ont un sens inversé : ils vont du ventre vers le dos. C’est pour que l’eau coule bien quand il est accroché aux branches la tête en bas.
Il a une petite tête ronde qu’il peut faire tourner de presque un tour complet !
Reproduction :
Il s’accouple tous les deux ans environ. La femelle donne naissance à un seul petit au bout d'une gestation d'environ 6 mois. Le petit pèse alors 200 à 250 g.
Au bout de 6 mois, la mère le délaisse, mais le petit la suit encore jusqu'à l'âge d'un an.
Un mode de vie très étrange…
Le paresseux est très lent. Il possède quelques prédateurs : le jaguar, l'ocelot et l'aigle harpie. Comme il est plus en sécurité dans les arbres, il ne descend au sol pour faire ses besoins qu'une fois par semaine. Leurs poils sont verts à cause de minuscules algues qui poussent dans leur fourrure. Cela lui permet d’être mieux camouflé. Il dort 12 heures par jour et il est incapable de sauter. Il se tient tellement fort aux branche que même une fois mort, il reste accroché dans l’arbre.
Est-il en danger ?
Actuellement, la principale menace pour le paresseux est l'homme, car celui-ci en fait le commerce et détruit les forêt dans lesquelles il vit. Il existe six espèces de paresseux, dont deux en voie d’extinction : le paresseux à crinière qui vit au Brésil et surtout le paresseux nain originaire du Panama classé en danger critique d’extinction.
Dylan
Sources :
Sites internet : - https://fr.vikidia.org/wiki/Paresseux - https://fr.wikipedia.org/wiki/Paresseux Livre : - Ma Terre de tous les records de Elizabeth Ferté Magazines : - Wapiti N° 347 - Science et vie Junior, Hors-Série N° 136
Du 18 au 23 novembre 2019, j etais en stage à la boulangerie Goepper à Pfastatt.
J'ai vu comment fabriquer des buches de Noël, j'ai aidé à confectionner des brioches, des manalas, des "souris", des Forêts Noires et à assembler des ballotins de chocolat.
C'était fatigant parce que je me levais tôt tous les matins et parce que je travaillais tout le temps debout mais ça m'a plu.
Le mardi 3 décembre 2019, je suis allé à l'Orientoscope de Mulhouse.
J'ai rencontré des personnes qui présentaient leurs métiers.
J'ai participé à l'atelier moto, j'ai du démonter la carosserie d'une moto-cross. Je suis allé voir l'atelier Soléa et j'ai pu poser plusieurs questions.
J'ai appris que Soléa prenait des stagiaires.Il y a plusieurs équipes dans cette entreprise : les mécaniciens, les carrossiers, les peintres, les électriciens et ceux qui gèrent la voirie. J'ai aussi vu un atelier de carrosserie automobile et un atelier de la SNCF.
Dans ce blog, venez découvrir ce qu'il se passe dans à l'ULIS du collège Charles Péguy de Wittelsheim
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